Six façons futées d’aider vos enfants à financer leurs études postsecondaires
Découvrez des moyens de vous rassurer, vous et votre étudiant, sur la façon de payer études postsecondaires. Disposer d'un plan bien avant le début des cours est un excellent moyen de se préparer et de rester positif quant au paiement de l'enseignement secondaire.
Mis à jour le 
Lecture de 6 min.
Investir dans les études
On peut facilement se sentir dépassé par des sommes aussi importantes, mais il ne faut pas céder à la panique. Une planification et des recherches appropriées peuvent aider vos enfants à payer leurs études collégiales ou universitaires sans se retrouver à court d’argent.
Comment aider vos enfants à payer leurs études universitaires
1. Faites des calculs
Vous ne songeriez pas à acheter une voiture ou une maison sans d’abord faire des calculs, et c’est la même chose pour les études universitaires. La première chose à faire est de déterminer combien d’argent votre enfant aura besoin pendant ses études. Le Calculateur d’épargne-études de BMO peut vous aider à estimer le coût total et à déterminer si votre plan d’épargne actuel sera suffisant. Le calculateur tient compte de facteurs comme la durée du programme, le type de diplôme ou de programme, le moment où vos enfants entreront à l’université et à quelle distance de la maison se trouve l’établissement choisi.
2. Ouvrez un Régime enregistré d’épargne-études (REEE)
Si vous n’avez pas encore établi de REEE pour aider vos enfants à financer leurs études postsecondaires, il n’y a pas de temps à perdre. Vous avez le choix entre un REEE individuel ou un régime familial, qui vous permet d’épargner pour tous vos enfants. Vous pouvez cotiser au nom de votre enfant, et des membres de la famille ou des amis peuvent aussi cotiser.
Et ne vous en faites pas si vous ne pouvez pas épargner une grosse somme. Même de petites cotisations faites régulièrement peuvent vous permettre d’accumuler un montant considérable au fil des ans. Plus vous disposez de temps avant que votre enfant entre au cégep ou à l’université, plus votre argent peut fructifier.
Pour choisir dans quels placements investir les sommes versées dans un REER, les Portefeuilles d’éducation Objectif BMO offrent une solution simple. Ces portefeuilles gérés par des professionnels répartissent l’actif en fonction de la date prévue d’entrée au cégep ou à l’université de votre enfant, ce qui élimine une partie du stress occasionné par le choix des placements.
3. Profitez des subventions et des bons du REEE
En plus d’autofinancer le REEE de votre enfant, vous pouvez augmenter votre épargne grâce à la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE). Ce programme gouvernemental est conçu pour aider les familles à épargner pour les frais des études collégiales ou universitaires.
La subvention, qui est disponible jusqu’à la fin de l’année civile où votre enfant atteint l’âge de 17 ans, vous verse 20 cents pour chaque dollar épargné, jusqu’à concurrence de 500 $ par année, montant qui peut aller jusqu’à 1 000 $ par année si des cotisations inutilisées sont reportées. La subvention maximale à vie est établie à 7 200 $.
Les familles à revenu faible et moyen peuvent avoir droit à des paiements supplémentaires au titre de la SCEE pour leurs cotisations au REEE, selon le montant de leur revenu net. Également, la Colombie-Britannique et le Québec offrent des programmes de subventions provinciaux pour les enfants résidents qui sont bénéficiaires d’un REEE, ce qui peut vous permettre de bonifier votre épargne.
4. Aidez vos futurs étudiants à demander un prêt
Selon les frais d’inscription et le montant que vous pouvez épargner, un prêt étudiant du gouvernement peut être nécessaire pour combler le manque à gagner. Pour simplifier les choses pour les étudiants, le gouvernement du Canada et la plupart des gouvernements provinciaux et territoriaux collaborent afin d’offrir des prêts étudiants et des programmes de subventions aux étudiants admissibles. Vous pouvez vérifier ici si votre enfant est admissible.
Conseil : N’oubliez pas de conseiller à votre enfant de se doter d’un plan pour rembourser son prêt une fois qu’il aura obtenu son diplôme.
5. Demandez la bourse d’études canadiennes
L’avantage des subventions, c’est que contrairement aux prêts étudiants, vous n’avez pas besoin de les rembourser. Les bourses d’études canadiennes peuvent aider vos enfants à financer leurs études universitaires sans avoir à assumer une lourde dette après avoir obtenu leur diplôme.
Ces subventions sont offertes aux étudiants dans la plupart des provinces et des territoires et elles sont disponibles au début et au milieu de l’année scolaire. Les gouvernements des Territoires-du-Nord-Ouest, du Nunavut et du Québec offrent leur propre programme de subventions.
6. Renseignez-vous sur les bourses d’études
Comme les subventions, les bourses d’études n’ont pas besoin d’être remboursées, ce qui en fait une solution plus attrayante que les prêts. Les bourses d’études sont attribuées aux étudiants en fonction de leurs résultats scolaires ou de leurs besoins financiers.
Les gouvernements, les établissements d’enseignement et les organismes privés sont de bons endroits pour vous renseigner sur les bourses d’études. Informez-vous sur la façon de trouver et demander des bourses d’études auprès du gouvernement du Canada ou à Scholarshipscanada.com.
Aidez vos enfants à diminuer l’anxiété associée au financement de leurs études
Financer des études collégiales ou universitaires ne doit pas nécessairement être une source d’anxiété. Il suffit d’avoir le bon plan. Si vous ne savez pas trop par où commencer ou si vous avez besoin d’aide pour vérifier si votre stratégie d’épargne est appropriée, envisagez de demander l’aide d’un professionnel en placement de BMO.
Ouvrir un compte Placements autogérés de BMO Ligne d’action.
Remplissez votre demande et commencez à investir en ligne.
Articles connexes
Comprendre le CELI : notions de base
